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DLR prend position sur la question des retraites
17/04/2010 18:01
Avec la publication du rapport du COR, le grand tintouin sur la question des retraites vient de commencer. Disons-le tout net, ce rapport est absurde et constitue une approche inappropriée de la réforme des retraites.
Les projections du COR sont absurdes car elles anticipent à 40 ans de distance ce que serait, à rythme de croissance constant, l’ampleur des déficits du régime de retraite. Ce faisant, on inscrit dans le marbre sur une période beaucoup trop longue les difficultés qui sont justement la cause, dans la France de ce début de XXIème siècle, de l’insuffisance de création de richesse, première cause du déséquilibre des caisses de retraite.
En cherchant ainsi à noircir le tableau pour imposer une réforme obligatoirement injuste, on dramatise la situation, comme en témoigne l’ampleur bien moins importante qu’on veut le dire du « trou » des retraites aujourd’hui – moins de 10 milliards de déficit à rapporter aux 250 milliards d’euros et plus versés chaque année sous forme de pensions ! La conséquence de cette irresponsable dramatisation n’est que trop prévisible : des Français encore plus inquiets, augmentant leur épargne et diminuant leur consommation, engluant davantage encore la France dans la récession.
Bref, on se résigne à partager le « gâteau » d’une richesse nationale stagnante en parts toujours plus petites, au lieu de le faire grossir pour maintenir des niveaux de pension corrects. Le tout sans voir l’effet dépressif de long terme ainsi généré sur l’économie française qui risque bel et bien, au final, d’entraîner le pays dans une spirale de paupérisation absolue et de transformer les prévisions du COR en prophétie auto-réalisatrice…
La vraie urgence est de faire grossir le « gâteau » en créant des emplois par le rétablissement de la compétitivité française, seul moyen de vaincre par le haut le déficit structurel des retraites. Cela signifie une politique d’électrochoc à laquelle se refusent les élites. Cela implique une action au niveau national et au niveau européen :
Au niveau national
la baisse de l’impôt sur les sociétés pour les entreprises qui réinvestissent leurs bénéfices ;
la forte baisse des charges sociales : si on avait engagé les 18 milliards annuels de la loi TEPA pour aider les PME à investir, on n’en serait pas là aujourd’hui ! ;
la création, comme en Allemagne, d’une « TVA sociale » partielle, mettant progressivement à contribution les produits importés au financement de la protection sociale et diminuant, à terme, de 25% de coût net des biens français à l’export ;
la remise en cause de l’oligopole bancaire dont les abus tarissent l’investissement dans l’économie productive.
Au niveau européen
la réforme de la gestion de l’euro (politique de change et taux d’intérêt) pour favoriser l’emploi ou, si nos partenaires refusent, sa transformation en monnaie commune permettant le rétablissement du franc et sa dévaluation ;
la lutte contre le libre échange déloyal des pays émergents, Chine en tête, à l’origine de la perte de substance économique de la France (charrettes des délocalisations et des « plans sociaux ») ;
l’incitation à acheter les produits « fabriqué en France » pour mobiliser les Français autour de leur économie et responsabiliser leurs achats,…
Cette liste de mesures, non-exhaustives, provoquerait un vrai redressement de l’économie française, transformant le dynamisme démographique de notre pays - aujourd’hui un handicap avec des millions de bras inactifs - en véritable atout, faisant fondre les déficits et les dépenses « d’infirmerie sociale » tout en augmentant parallèlement les recettes.
Une telle évolution serait probablement susceptible de résoudre l’effet de ciseaux apparemment inextricable qui menace aujourd’hui la retraite par répartition : de plus en plus de pensionnés face à un volume structurellement insuffisant de cotisants.
Bien évidemment, la priorité donnée au rétablissement de la compétitivité n’interdit pas le lancement d’une réforme sérieuse des retraites, en prenant le temps d’aboutir à des mesures transparentes et consensuelles, garantes de justice et donc d’efficacité.
Il s’agirait alors d’unifier les régimes publics / privés, d’instaurer une retraite-plancher sur le modèle suédois (empêchant la paupérisation des retraités modestes), de moduler l’âge légal de départ en fonction de la pénibilité (prenant ainsi en compte la hausse de l’espérance de vie), et de créer une contribution plus juste des revenus du capital au financement des caisses.
On le voit, il s’agirait rien moins que de refonder le pacte social de la Libération à l’aune des évolutions sociologiques lourdes de la France de ces 60 dernières années, non pas de le démanteler comme cherche en réalité à le faire une réforme qui ne dit pas son nom.
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À l’UMP, on ne sait plus quoi inventer pour conserver ses sièges
17/04/2010 13:24
Anthony MITRANO, Coordinateur Debout La République pour Nice, Délégué Départemental Debout Les Jeunes des Alpes Maritimes, Coordinateur régional Debout Les Jeunes PACA.
Le député de la 1ère circonscription de Nice et président du conseil général des Alpes Maritimes, Éric Ciotti, a récemment déposé une proposition de loi visant à interdire la possibilité de triangulaire. Cette proposition reprend celle déposée en 2002 par le député du Nord Christian Vanneste, mais en la durcissant : le projet initial interdisait les triangulaires pour toutes les élections sauf pour les municipales. Avec Eric Ciotti, plus d’exception, même lors municipales, au 2e tour, il ne doit rester que deux listes ! L’argument du député UMP de Nice : il faut que les candidats soient élus à la majorité absolue (plus de 50% des suffrages) afin d’avoir une légitimé suffisante pour pouvoir agir.
Le hic avec l’UMP c’est qu’en fonction de chaque résultat ils veulent changer les modes de scrutins. En 2009, ils remportent les européennes avec 30 % des voix, ils décident que l’idéal c’est un seul tour et le 1er qui arrive en tête rafle tous les sièges. Après les régionales de cette année, ils s’aperçoivent, qu’ils peuvent ne plus être en tête au 1 er tour, ils sont maintenant, pour 2 tours sans triangulaires.
Quand on est profondément démocrate et républicain, on ne change pas d’avis comme de chemise ! Ce n’est pas avec de tels tripatouillages électoraux pour que le système UMPS reste en place, que cela va ramener le peuple français vers les urnes.
Au contraire, Debout La République demande que les votes soient réellement pris en compte, avec la reconnaissance du vote blanc. Face à des élus UMP, qui veulent que quoi qu’il arrive, ils puissent se targuer d’une majorité de français avec eux, en reconnaissant le vote blanc comme un bulletin exprimé, cela donne une véritable alternative à l’abstention. Cela permet de voter tout en montrant sa désapprobation. Ainsi, au lieu de faire croire artificiellement aux élus UMPS que plus de 50% des électeurs les soutiennent, nous verrions réellement avec combien de votants ils ont remporté la victoire 40, 30, 20 % des voix ?
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TVA sociale : les réponses aux objections
17/04/2010 13:11
Une taxe injuste ?
Les détracteurs de la TVA sociale lui opposent souvent cet argument avec un double raisonnement. Tout d’abord, cela revient à transférer des charges pesant sur les entreprises sur une taxe portant sur la consommation. Dans la présentation de certains, on a presque l’impression qu’il est demandé aux Français de payer une taxe qui était auparavant directement payée de la poche des patrons. Cette présentation est abusive. Les charges sociales ne sont qu’un coût parmi un autre pour une entreprise et en réalité, ce sont bien les consommateurs qui la paient, comme la TVA.
L’autre argument avancé est que la TVA est un impôt injuste car non progressif. Cependant, il faut noter que les ménages modestes sous-consomment les produits faiblement taxés (produits alimentaires, loyer) alors que les ménages aisés surconsomment les produits plus fortement taxés, ce qui introduit une forme de redistribution à travers la TVA. Et les cotisations sociales sont en partie soumises à un plafond, ce qui limite la redistribution. En outre, il est toujours possible de jouer sur des différences de taux pour assurer que cette réforme ne soit pas injuste.
Une taxe inflationniste ?
Le deuxième reproche fait à la TVA sociale est le risque d’une hausse des prix. Pourtant, l’expérience Allemande démontre qu’un tel transfert n’est pas forcément inflationniste. Ensuite, si on agit à montant de taxe équivalent, il n’y a pas de raison pour que les prix augmentent. Bien sûr, il y a la crainte légitime que les prix des produits importés augmentent nettement et que ceux des produits fabriqués en France ne baissent pas à due proportion. Néanmoins, on peut aussi imaginer que certains importateurs rogneront sur leur marge pour ne pas trop perdre de parts de marché.
Parallèlement, sur les marchés compétitifs, la pression de la concurrence devrait pousser les prix à la baisse et rien n’empêche l’Etat de mettre en place des mécanismes assurant que la baisse des coûts est bien répercutée sur les prix. En outre, étant donné que nous importons davantage que nous exportons, la masse qui sera taxée sera plus importante qu’avant, ce qui devrait permettre au contraire de légèrement baisser la pression fiscale globale. Et la plus forte croissance de la base taxable (par la création d’emplois), permettrait sans doute de baisser la pression fiscale dans un second temps.
Une perte de pouvoir d’achat ?
Etant donné le précédent de la baisse de la TVA dans la restauration, il est néanmoins difficile d’affirmer qu’il n’y aurait aucun risque d’une légère hausse de l’inflation. Cependant, le niveau de l’inflation (tant qu’il est raisonnable) n’est pas le plus important. En effet, l’essentiel est l’écart entre la hausse des salaires et l’inflation. Beaucoup présentent la baisse de l’inflation comme un progrès économique alors que la hausse des salaires a davantage baissé que l’inflation, aboutissant à une réduction des gains de pouvoir d’achat, faisant finalement de la baisse de l’inflation un recul social.
Au contraire, la baisse radicale du coût du travail permettrait sans doute une plus forte progression des salaires et du pouvoir d’achat, même si l’inflation est temporairement et légèrement plus élevée. En effet, le coût d’une hausse de salaire serait réduit de plus de 40% avec l’introduction de la TVA sociale. Mieux, on pourrait aussi imaginer en profiter pour que le nouveau salaire net soit un intermédiaire entre l’ancien net et l’ancien brut pour redistribuer du pouvoir d’achat, quitte à accepter un léger regain temporaire d’inflation. Naturellement, cela se ferait plus facilement en dehors de la monnaie unique.
Pour être honnête, les reproches faits à la TVA sociale sont légitimes. A première vue, une telle révolution fiscale n’est pas sans risque. Mais un examen plus approfondi de ses mécanismes permet de comprendre qu’il s’agirait sans doute d’une révolution extrêmement positive.
Laurent Pinsolle
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Week - end actif dans la 14ème circonscription 4
17/04/2010 13:00
Nous avons assistés ce samedi à l’Assemblée générale des cœurs de fondeurs qui s’est déroulée à l’Hôtel de ville de Courcelles les Lens en présence d’Ernest Vendeville, Mr Urbaniak s’étant fait représenter. Le Président, Mr Farid Ramou, exposa brièvement le chemin parcouru par l’association depuis sa création. Ce fut ensuite au tour de Mr Albert Lebleu de nous présenter le rapport moral. Le rapport financier suivit dans la foulée. Tous deux furent adoptés à l’unanimité. Une preuve supplémentaire que la solidarité chez les Métallos n’est pas un vain mot. DLR 14ème circonscription soutient et soutiendra toujours ces ouvriers qui ont été lâchement sacrifiés par leur entreprise pour le profit immédiat pour leurs actionnaires. Mr Vendeville parlait d’élever un mémorial en souvenir des ouvriers morts à Métaleurop lors des 3 catastrophes qui émaillèrent la vie de l’entreprise. Nous lui conseillons d’ériger également une statue en souvenir de tous les ouvriers du secteur sacrifié sur l’autel de l’ultra – libéralisme.
Le Comité de circonscription
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Commentaire de Démagogie ? (17/04/2010 17:50) :
L'Alliance républicaine qui use d'un mot qui décrit une action
dont elle s'est rendue maîtresse au quotidien et qui se permet de
l'appliquer aux autres ? Un effet du nuage islandais sans doute !
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Commentaire de Je m\'interroge ? (17/04/2010 22:15) :
Je viens de recevoir un tract de l'AR. Un double page bleu sur blanc
de type dupliqué. Je passe sur la stérilité du contenu pour
m'interroger sur l'origine de l'impression de celui-ci. En
effet, je ne vois aucun nom d'imprimeur sur ce fameux tract. Il se
murmure qu'il aurait été produit du côté de la rue René Cassin...
Pourriez - vous enquêter sur cela ?
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